La première fois que j’ai entendu parler des fleurs de Bach j’ai été séduite : elles sont élaborées avec des plantes sauvages.
J’utilisais déjà les huiles essentielles, mais avec beaucoup de prudence
Avec les fleurs de Bach, pas de risque.
C’est un énorme avantage. Elles peuvent être utilisées par tous et sans danger.
Leur processus de fabrication nécessite très peu de plante. C’est un critère auquel je suis sensible.
Avec 1/3 de litre d’eau et quelques grammes de fleurs, nous pouvons préparer jusqu’à 16000 bouteilles d’élixirs.
Un procédé écologique qui respecte le règne végétal. Très peu de végétaux sont prélevés dans leur milieu naturel pour aider et accompagner des milliers de personnes !
Mais la méthode du Docteur Bach apporte également un point de vue philosophique.
Sa conception de la maladie, de la santé et de la personne s’appuie sur une approche holistique et spirituelle qui répondent aux questions fondamentales que nous nous posons tous à un moment ou à un autre de notre vie : qui suis-je ? Qu’est ce que la vie ? Pourquoi je souffre ? etc…
Cette conception de l’individu, à la fois Etre physique et spirituel, amène à penser que chacun de nous est unique. Lorsque nous accompagnons une personne nous devons abolir totalement nos idées préconçues, nos interprétations, nos logiques, nos jugements et être à même d’écouter et d’accepter la personne dans ce qu’elle est d’unique.
Je retrouve cette même idée dans le protocole et le déroulé de l’EPRTH™.
Ce sont là des méthodes puissantes d’aide au développement personnel et j’y retrouve l’injonction des antiques : « Deviens qui tu es. »